Durée 40 minutes
Tout public dès 4 ans
DIRECTION ARTISTIQUE, JEU
Eve Ledig
ECRITURE, CO-MISE EN SCÈNE
Eve Ledig, Sabine Siegwalt,
Marie-Anne Jamaux
SCÉNOGRAPHIE, COSTUMES
Sabine Siegwalt
DIRECTION D’ACTEUR
Marie-Anne Jamaux
CRÉATION LUMIÈRES
Gerdi Nehlig
MUSIQUE, UNIVERS SONORE
Jeff Benignus
RÉGIE GÉNÉRALE
Frédéric Goetz
CONSTRUCTION
Olivier Benoit
Le fil rouge théâtre, compagnie conventionnée par le Ministère de la culture et de la communication - DRAC Alsace et la Ville de Strasbourg.
L'Yonne-en-scène
Le TJP - CDN d'Alsace, Strasbourg
Avec le soutien du Ministère de la culture et de la communication – DRAC Alsace, de la Région Alsace et de la Ville de Strasbourg.
Photos : Thomas Fehr
Illustration : Anne-Sophie Tschiegg
Et si les mouchoirs gardaient nos secrets ? Il était une fois un personnage de conte, une femme qui a le don d’écouter entre les plis ce que racontent nos vies.
« Est-ce un ange ? Une clocharde ? La présence d'Eve Ledig est fabuleuse. Avec tendresse et compréhension, le personnage va déplier les mouchoirs, les uns après les autres. Ces mouchoirs qui gardent nos secrets d'enfance, nos colères, nos désirs, nos manques. Dans un bel enchaînement on passe au conte, les mouchoirs deviennent les serviettes d'un banquet, la table se dresse au fil de l'histoire. Quelle belle idée que la nécessité et la richesse des larmes, qui dans un tableau final délicat deviennent larmes-perles scintillantes sur un sol argenté. Ce spectacle parle aux enfants, allez le voir, c'est de toute beauté. »
Joël Simon, France Inter, 17 avril 2004
« Les enfants apprécieront, c'est sûr, cette histoire toute simple qui met en scène un personnage étonnant (...) Ils se délectent de ces aveux, de ces révélations, de ces peurs de loup et de monstres (...) Ils éclatent de rire. Un travail tout en finesse, tout en tendresse (...) Un parcours initiatique qui dit à tous que savoir rire et pleurer, surtout pleurer aussi fort que le besoin se fait sentir, cela fait du bien, qui dit aussi que c'est ainsi que nous sommes des humains. »
Marie-France Grislin, Hebdoscope, 28 avril 2004