Durée 1heure
Tout public dès 10 ans
TEXTE
Claudine Galea
CONCEPTION
Eve Ledig, Sabine Siegwalt, Jeff Benignus
MISE EN SCÈNE
Eve Ledig
COMPOSITION, DIRECTION MUSICALE
Jeff Benignus
SCÉNOGRAPHIE, COSTUMES
Sabine Siegwalt
COLLABORATION CHORÉGRAPHIQUE
Charlotte Delaporte
TRAVAIL VOCAL
Catherine Fender
CRÉATION LUMIÈRES ET RÉGIE GÉNÉRALE
Frédéric Goetz
CONSTRUCTION
Olivier Benoit, la Machinerie - Strasbourg
PEINTURE DÉCOR
Marion Herbst
TAPISSERIE
Christophe Bach
Clarisse Delagarde, Kathleen Fortin,
Francisco Gil, Marie Schoenbock,
Yann Siptrott
Texte publié aux Editions Espaces 34
en janvier 2012
Le fil rouge théâtre, compagnie conventionnée par le Ministère de la culture et de la communication - DRAC Alsace et la Ville de Strasbourg
La Filature, scène nationale de Mulhouse
Opéra de Reims associé au Festival Méli’môme
Théâtre Jeune Public - CDN d’Alsace, Strasbourg
La Méridienne, scène conventionnée de Lunéville
Le fil rouge théâtre bénéficie du soutien à la création et à la diffusion de la Région Alsace, du soutien à la création du Conseil Général du Bas-Rhin et de l’Agence culturelle d’Alsace et de l’aide au compagnonnage auteur du Ministère de la culture et de la communication (DGCA) et du Fonds SACD Musique de Scène.
Photos : Michel Gabriel Duffour
Illustration : Anne-Sophie Tschiegg
Sur le plateau trois femmes et deux hommes. Un chœur de cinq acteurs-chanteurs pour saisir ce moment de la vie où l’on est en exil entre l’enfance et l’âge adulte. Les mots, le jeu, le chant et le mouvement entrent en résonance, se frottent, se croisent pour faire naître un langage qui épouse le glissement des pensées, des actions et des rêves.
« Dans le tuilage du passé et du présent s’éprouvent les sentiments, les séparations, les écarts de soi, à l’autre, au monde. Sur la scène du Théâtre Jeune Public, la langue dépouillée de Claudine Galea se meut en parole incarnée, dont les vertiges ricochent sur nous, les spectateurs. »
VEP., Reflets DNA 21 janvier 2012
« La mise en scène épurée d’Eve Ledig et le langage dépouillé de Claudine Galea ouvrent les portes à un questionnement sur les enjeux de ce temps parfois vécu comme au bord du précipice (…). Le chant accompagne les mots, leur donnant souffle de vie et profondeur. »
Claire Tourdot, DNA 1er février 2012
« On retrouve cet âge où tout s’embrase, démesurément. (…) Les corps dansent au gré des sentiments et des événements. Les comédiens y mettent toutes leurs tripes, ils ne trichent pas. Ils s’engagent. Ils chantent superbement. »
F.M., L’Alsace 5 février 2012
"J’ai trop de force pour m’asseoir Comme vous autres sur une chaise J’ai deux cœurs dans mon cœur Des ailes à mes reins Et quatre-vingt-huit touches blanches et noires à mes mains"
Dialogue de Lalla